Le wingfoil, ce sport que l’on ne présente plus…a littéralement déferlé tel un raz de marée sur nos plages. Tant et si bien qu’il a même éradiqué les autres disciplines sur certains spots. Si vous sortez un kite en Gwada, vous serez complètement « has been » !
Parce qu’en wingfoil on peut rider presque n’importe où !
Là, clairement c’est le gros avantage du wingfoil. Il est possible de se mettre au l’eau presque n’importe où (du moment qu’il y ait assez de fond). Contrairement à la pratique du kite qui nécessite d’avoir un espace safe et dégagé pour pouvoir décoller, le wingfoil peut se pratiquer sur tous les plans d’eau : lacs, rivière, étang, océan, mer…
Sur les petits plans d’eau, il est courant que le vent soit rafaleux. Pas de problème de sécurité pour le wingfoil. Le vent rafaleux ne vous fera pas grimper aux arbres (à moins qu’il y est 50 nœuds bien sûr !).
Autre avantage massif : le wingfoil peut se pratiquer dans le vent léger. Le matériel a énormément évolué et il est maintenant possible de rider dans moins de 10 nœuds. Les planches se sont allongées et affinées, les ailes sont toujours plus rigides permettant de voler dans très peu de vent. On observe également l’arrivée du foil assit/drive qui aide au décollage ! Une révolution est en marche.
Grâce à ses points forts, le wingfoil s’est imposé sur beaucoup de spots. Qui l’eut cru? que le wingfoil deviendrait un sport phare en Ile de France ?!Pour l’anecdote, l’association Wing in Paris regroupe plus de 1000 pratiquants !

Pour la sensation inégalable de voler
Clairement on aime la wing pour cette douce et euphorisante sensation. Même si voler sur l’eau devient presque banal, cela n’en reste pas moins jouissif !
Le premier vol reste un instant mémorable et suspendu dans le temps : enfin on vole, pas de bruit, pas de secousse, on ne subit pas le clapot…liberté instantanée !
Et puis on progresse, on passe des étapes jusqu’à faire ses premiers freeflys et là on découvre encore des nouvelles sensations. Se faire pousser par la houle ou le clapot et surfouiller donnera le sourire pour la journée. Oui, oui, garanti !
Parce le wingfoil réuni tout le monde
En tant que rideur et à force de fréquenter les parkings des spots, on connaît bien les petites gueguerres gentillettes entre les disciplines.
Le windsurfeur qui se moque du kiteur quand il y a 40 nœuds et qu’il ressemble littéralement à un sachet de thé.
Le kiteur qui s’amuse du windsurfeur collé à l’eau dans les 14 nœuds asthmatiques…
Le surfeur qui déteste que n’importe qu’elle autre personne vienne lui voler SA vague, et ce, même s’il y a 25 nœuds et que le spot est défoncé pour le surf.
Bref, on pourrait écrire des livres…
Ce qui est cool, c’est que la wing a mis tout le monde d’accord. C’est le seul sport qui a réussi à réunir plusieurs communautés de glisseurs !
Il est plutôt rare de rencontrer quelqu’un qui ne fasse QUE du wingfoil. La plupart du temps, les wingfoileurs pratiquent plusieurs disciplines ! Et cela est une chance pour ce sport, lui permettant d’évoluer rapidement, avec des nouvelles disciplines annexes comme la parawing, le downwind…

Pour se muscler
Moins physique que son cousin le windsurf et plus physique que le kitesurf, le wingfoil est une discipline complète.
On y travaille beaucoup de muscles, ainsi l’équilibre, la tonicité et l’endurance seront mises à rude épreuve.
Bien sûr tous les muscles au niveau du thorax sont sollicités : pectoraux, abdo mais aussi les bras et les épaules, car ouiiii il faut pomper pour voler !
Les jambes vont également fumer avec une recherche d’équilibre incessante, et parfois un pumping endiablé.
L’avantage, c’est que le wingfoil est un super moyen de garder la forme tout en s’amusant, et presque sans se rendre compte de l’effort !
Alors convaincu(e) ?
Si vous achetez votre premier matos, n’oubliez pas de l’assurer. Bizarrement les foils et les ailes ont tendance à se faire des bisous un peu trop souvent😯!Chez Winklecard, nous avons la garantie qu’il vous faut.
